Dans toute démonstration reconnue comme « scientifique » ou sérieuse, les auteurs sont invités à citer leurs sources s’ils s’inspirent d’autres recherches.
De nos jours, nous cédons trop facilement au fait d’argumenter un propos en citant : « C’est scientifiquement prouvé ! ».
Personnellement, j’accorde peu de valeur à cette forme d’argument. Je le considère comme un fait divers, et je m’empresse de faire mes propres recherches pour créer ma propre opinion, pour autant que cela représente un intérêt personnel. Lorsqu’une personne inonde mon esprit de propos validés par cet argument (Carte n° 45), je développe alors mon espace tampon (Carte n° 35) afin de ne pas me laisser noyer, voire angoisser, par des informations de seconde main.
Il va de soi qu’il n’est pas nécessaire de citer tes sources dans les conversations courantes, mais faire preuve de prudence dans l’écoute ainsi que dans l’affirmation de tes propos engendre une certaine écologie de l’esprit et certainement des rapports plus sereins, plus utiles et plus impliqués avec tes proches. À terme, tu découvriras qu’il est plus serein de douter de tout plutôt que de se réfugier dans des certitudes qui rassurent, mais qui également emprisonnent.
Je préfère mille fois plus entendre l’avis original et sincère d’un ami, quelles que soient ses idées, plutôt que la répétition non réfléchie de sujets élaborés par autrui.
Ainsi, je t’invite à conserver un esprit critique en cherchant les sources de ce que tu vois, lis et entends et pour peu, je le répète, que cela représente un intérêt pour toi. Cette précaution procède d’une écologie de l’esprit au même titre que tu n’ingurgiterais pas une nourriture dont tu te méfierais de la fraîcheur.
Maintenant,
à toi d’agir !
Complète la partie pratique
de ton livret !
Profite de l’expérience des autres
en partageant la tienne…
“C’est fou le nombre de perroquets du rire qui s’épanouissent sur les écrans de télévision. Inconscients ou pas, ils sombrent tous dans le pastiche ou le plagiat. Ce ne sont plus des clowns, ce sont des clones.”
Guy Bedos
TOUTES LES CARTES...
Introduction
CARTE 1 : Les rêveurs
CARTE 2 : Arrête de « croire » à tes troubles psy
CARTE 3 : Les 3 niveaux de pensées
CARTE 4 : Je suis mon corps
CARTE 5 : Suis-je victime d’un trauma ?
CARTE 6 : Déclic de raison
CARTE 7 : Tout le temps fatigué
CARTE 8 : Les rêveurs taiseux
CARTE 9 : Cite tes sources
CARTE 10 : Tu n’es pas tes symptômes !
CARTE 11 : La méditation pour les nuls
CARTE 12 : Mais où est ton doudou ?
CARTE 13 : Deux leviers valent mieux qu’un !
CARTE 14 : Préserve ta mère
CARTE 15 : Des leçons de tes erreurs
CARTE 16 : Tout est thérapie
CARTE 17 : Danse dans ton salon
CARTE 18 : Respire
CARTE 19 : Enfant dans un corps d’adulte
CARTE 20 : Je ne parviens pas à pleurer
CARTE 21 : Ils te veulent du bien
CARTE 22 : Analyse les faits
CARTE 23 : Et marcher alors…
CARTE 24 : Les preuves scientifiques
CARTE 25 : Rationalise tes voix
CARTE 26 : “Une partie de jambes en l’air”
CARTE 27 : L’encapsulage morpho-psychologique
CARTE 28 : Le Tai-chi pour les nuls
CARTE 29 : Prends Dieu au sérieux
CARTE 30 : J’ai pété un câble
CARTE 31 : Le pouvoir de l’imaginaire
CARTE 32 : Le fichu facteur humain
CARTE 33 : La blessure d’abandon
CARTE 34 : C’est quoi l’amour ?
CARTE 35 : L’espace tampon
CARTE 36 : Te reprogrammer vers la bienveillance
CARTE 37 : Tire ta colonne vers le ciel
CARTE 38 : Détoure et limite
CARTE 39 : Les gens sont méchants avec moi
CARTE 40 : Les paroles s’envolent, les écrits restent
CARTE 41 : Si tu veux apprendre, agis !
CARTE 42 : Coupable, responsable et non responsable ?
CARTE 43 : Trouble psy, faut-il le dire ?
CARTE 44 : Le déni de la réalité
CARTE 45 : Génération WiGle
CARTE 46 : Le pouvoir de la lecture
CARTE 47 : Faible résistance à la frustration
CARTE 48 : Tu juges comme tu es jugé
CARTE 49 : Le B. A.- BA de l’existence
CARTE 50 : Assouplis ta viande
Conclusion